vendredi 27 janvier 2012

Une minute de silence

Sincères condoléances à la famille et aux proches de notre collègue du Loiret

Les mots paraissent bien dérisoires face à un tel geste mais si nous sommes malheureusement impuissant face à une trop grande détresse en ce qui concerne le travail nous pouvons nous devons lutter pour ne plus vivre ni connaître de souffrance au travail.

Demain je demanderais une minute de silence dans mon bureau en solidarité avec la famille et les collègues du Loiret et j'invite tous les collègues postiers à faire de même.

Cordialement

(L'insoumise)